100% gratuit !

Oui, tu as bien lu : le service Théia est 100% gratuit, sans pub, sans coût caché, sans trucs sponsorisés, et surtout surtout sans revente de données.

Les questions autour de la gratuité de Théia revenant régulièrement, nous t’expliquons comment ça fonctionne et pourquoi le service est gratuit.

ADN du projet

Comme nous te l’avons présenté, ce projet est une initiative personnelle fruit d’un travail introspectif des créateurs de Théia qui se sont beaucoup documentés et ont testé différentes méthodes et questionnaires de personnalité etc. Et par chance – et par le hasard de la vie et les opportunités qu’elle nous tend, ils ont (pu et) voulu en faire profiter d’autres. C’est ainsi que Théia a pu voir le jour.

C’est cet esprit de partage qui guide Théia. A la fois dans la gratuité – pour permettre à tous d’en profiter – mais aussi dans la mise en relation que Théia propose à la fin de l’expérience.

Cet ADN bénévole et collaboratif nous paraît indispensable pour garantir :

  • La gratuité du service,
  • La pérennité (aucun coût de structure),
  • La sécurité des données et la garantie de confidentialité décrites ici.

Coût de fonctionnement

Concrètement, nous n’avons aucun coût autre que l’hébergement technique du service Théia. Le développement moderne de l’application (architecture serverless) permet d’avoir des coûts strictement proportionnels à l’usage du service, partant de 0€ (lorsqu’il n’y a pas d’utilisateur) et bénéficiant même d’une première tranche d’usage gratuite dès lors que nous ne dépassons pas quelques centaines d’utilisateurs simultanés.

Nous (co-créateurs) n’avons pas de coût de structure, ni de salaire, ni autre charge d’entreprise. Nous avons la chance d’avoir d’autres sources de revenus qui nous permettent de travailler bénévolement sur Théia et de financer les développements et le fonctionnement du service.

Un jour peut-être…

Si le service Théia venait à grandir – et nous le souhaitons 🤩 – nous serons probablement amenés à construire une structure juridique pour continuer notre travail. Par exemple, WhatsApp exige une structure juridique pour l’approuver à dépasser certains plafonds d’usage et pouvoir facturer. Cela ne remettra pas en cause l’objectif décrit précédemment.

Enfin, si le service prenait de l’ampleur et demandait de nous y consacrer à plein temps voire d’embaucher d’autres collaborateurs, nous réfléchirons alors à un modèle financier qui sera très probablement basé sur un usage gratuit (avec tout ce qui aura été proposé jusque là) et des fonctionnalités nouvelles payantes. Mais nous aurons le temps d’en reparler sur notre blog d’ici là !

Et si tu avais des questions sur notre fonctionnement, nos coûts, nos engagement ou autre, n’hésite surtout pas à nous contacter !